OHM éditions
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Pour certains, le voyage fut intérieur, quasiment initiatique, peut-être même un peu mystique : face au vide, on peut accroître sa capacité de sagesse.
Ainsi Jean-François Flamey dans le périmètre de sa réclusion, marchant au coucher du soleil sur les quais splendides, regardant les ombres se former en lui, et dans les rues désertées.
Ses images ont une texture onirique très belle, presque japonaise parfois, parce que nous avons tous été alors des somnambules errant dans les limbes ou sur le pont flottant du ciel.

https://lintervalle.blog/2020/11/04/namur-une-rage-silencieuse-par-jean-francois-flamey-photographe/

la suite à lire sur le blog L’intervalle de Fabien Ribery : https://lintervalle.blog/2020/11/04/namur-une-rage-silencieuse-par-jean-francois-flamey-photographe/